
Alors que la plupart des musées sont fermés de par le monde du fait de la situation sanitaire, JR « rouvre » le musée Palazzo Strozzi par un un trompe-l’œil monumental en noir et blanc sur la façade du bâtiment.
Cette œuvre, intitulée « la ferita » (la blessure), permettra, explique JR, de « nourrir un vrai débat d’idées sur l’accessibilité à la culture pendant la crise du Covid 19 » et intervient « à un moment où nous avons besoin d’une ouverture des musées ».
Le travail de JR démontre la capacité du street art à communiquer, à l’instar de Bansky, un message politique fort et souvent poétique à la vue de tous.